Comment faire baisser le taux de cortisol, aussi appelé "hormone du stress" ?
Vous êtes souvent fatigué, irritable ou vous avez du mal à dormir ? 😴 Vous prenez facilement du poids malgré une alimentation équilibrée ? Et si tout cela avait un point commun... votre taux de cortisol !
Le cortisol, aussi appelé hormone du stress⚡, est une substance que votre corps produit naturellement pour vous aider à faire face aux situations stressantes. Jusque-là, tout va bien. Le problème, c’est quand les taux de cortisol restent trop élevés trop longtemps📈. Et c’est plus fréquent qu’on ne le pense !
Dans notre monde ultra-connecté, rythmé par les notifications 📲🛜, la charge mentale et le stress chronique 😵💫, le cortisol est souvent sécrété en excès… Ce qui peut entraîner une longue liste de symptômes : troubles du sommeil, anxiété, baisse d’immunité, stockage de graisse abdominale, fatigue persistante…
Mais bonne nouvelle : il est tout à fait possible de réduire naturellement son taux de cortisol, en adoptant quelques gestes simples, une bonne hygiène de vie, et certains remèdes naturels ciblés.
Qu’est-ce que le cortisol ?
Une hormone essentielle à l’équilibre du corps
Le cortisol, c’est un peu comme le chef d’orchestre de notre organisme en cas d’imprévu. Il s'agit d'une hormone qui est produite naturellement par les glandes surrénales (situées au-dessus des reins) en réponse à un signal du cerveau, notamment en cas de stress, de fatigue ou de manque d’énergie.
Son rôle ? Nous aider à gérer des situations de tension en mobilisant les ressources nécessaires : plus de glucose dans le sang pour alimenter les muscles, une attention accrue, et une certaine mise en pause des fonctions non essentielles à court terme (comme la digestion ou la reproduction).
Mais le cortisol n’est pas seulement une hormone du stress : il régule aussi de nombreuses fonctions vitales au quotidien, même hors des moments stressants, comme :
- Le rythme veille/sommeil
- Le métabolisme des glucides, lipides et protéines
- La pression artérielle
- L’inflammation
- Et le système immunitaire
Autrement dit : un taux de cortisol normal est indispensable à l’équilibre de notre corps. Ce n’est donc ni une "mauvaise hormone", ni un ennemi. Tout est une question de dosage et de durée.
Le lien entre cortisol et stress
Lorsqu’on vit un cas de stress aigu, le cerveau envoie un signal clair : « danger imminent ! ». En réponse, l’organisme libère une grande quantité de cortisol, afin de nous préparer à fuir ou agir rapidement. C’est une réaction naturelle et très utile à court terme. 🧠⚡

Mais lorsque le stress devient chronique, que les tensions persistent jour après jour (travail, surcharge mentale, problèmes perso, etc.), les taux de cortisol restent élevés en continu. Et c’est là que les ennuis commencent…
😟 Un taux de cortisol élevé sur le long terme peut :
- Fatiguer les glandes surrénales
- Dérégler l’équilibre hormonal
- Favoriser la prise de poids, notamment abdominale
- Affecter la qualité du sommeil
- Diminuer les défenses immunitaires
- Provoquer des troubles de l’humeur ou de l’anxiété
Le cortisol est donc une hormone clé, mais sa production excessive de manière chronique peut nuire à la santé. Heureusement, on peut agir naturellement pour réguler le cortisol, en adoptant de bons réflexes et une meilleure gestion du stress.
Quels sont les symptômes d’un excès de cortisol
Avoir un taux de cortisol trop élevé n’est pas juste une affaire de stress ponctuel. Quand cette hormone du stress reste en mode "on" trop longtemps, c’est tout l’organisme qui trinque.
Les symptômes d’un excès de cortisol sont nombreux, parfois discrets, parfois franchement envahissants :
Fatigue persistante (même après une bonne nuit de sommeil 😴)
- Irritabilité, anxiété, troubles de l’humeur
- Difficulté à se concentrer, mémoire en vrac
- Troubles du sommeil (réveils nocturnes, insomnies)
- Prise de poids, en particulier au niveau du ventre
- Diminution de la masse musculaire malgré l’activité physique
- Système immunitaire affaibli : vous tombez plus souvent malade 🤧
- Tension artérielle élevée, maux de tête
Et si rien n’est fait, les niveaux élevés de cortisol peuvent à long terme augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2, ou encore d’ostéoporose. D’où l’intérêt d’agir tôt pour réduire le taux de cortisol !
Quelles sont les causes principales d'un cortisol élevé ?
Un taux de cortisol élevé peut avoir plusieurs origines. La plus fréquente : un stress permanent et prolongé, causé par un rythme de vie trop intense, des responsabilités lourdes, des relations tendues, un sommeil perturbé, ou encore un manque d’activité physique.
Mais il y a aussi d’autres causes d’un taux de cortisol anormalement élevé :
- Une consommation excessive de caféine ☕ ou d’alcool 🍷
- Une alimentation déséquilibrée, pauvre en nutriments
- Un surentraînement physique sans récupération suffisante
- Certaines pathologies hormonales (comme le syndrome de Cushing)
- Des troubles du sommeil, comme l’apnée
Comment réduire le taux de cortisol naturellement ?
Une bonne hygiène de vie pour baisser son taux de cortisol
La première étape pour réduire le taux de cortisol, c’est de s’attaquer à ce qui l’augmente au quotidien. Et ça passe par quelques ajustements simples, mais puissants 💪 :
- Dormir suffisamment : au moins 7 à 8 h par nuit 🛌
- Bouger tous les jours : une marche rapide, du vélo, du yoga…
- Couper avec les écrans avant de dormir
- Avoir des moments de calme, même courts, sans stimulations
- Réduire sa consommation de café ou d’alcool (oui, on sait 😅)
Une bonne gestion du stress commence par ces petites habitudes, qui permettent de remettre de l’équilibre dans vos rythmes de cortisol.
L’impact de l’alimentation sur les taux de cortisol
Certains aliments riches en antioxydants aident à réguler le cortisol en soutenant les glandes surrénales et en réduisant l’inflammation :
- Les fruits rouges, riches en polyphénols
- Le chocolat noir (70 %, avec modération bien sûr 🍫)
- Les légumes à feuilles vertes (épinards, roquette, etc.)
- Les oméga-3 : poissons gras, graines de lin, noix
À éviter : les plats ultra-transformés, les excès de sucre et d’alcool, qui peuvent augmenter la production de cortisol et entretenir le stress.
La respiration et la méditation : des outils sous-estimés 🧘♀️
Saviez-vous qu’il suffit de quelques minutes de respiration profonde pour faire baisser votre taux de cortisol ? Une séance de cohérence cardiaque (5 min de respiration à 6 cycles/minute) peut agir comme un véritable bouton "reset" sur votre cerveau.
La méditation, la pleine conscience ou même un bain chaud peuvent réduire le cortisol de façon naturelle, sans médication. Ces moments de recentrage sont très efficaces pour gérer le stress durablement.

Les plantes adaptogènes pour baisser naturellement le taux de cortisol
Quand on parle de réduire le cortisol, les plantes adaptogènes méritent clairement leur place. Elles aident le corps à s’adapter aux situations de stress et à maintenir l’équilibre sans le surstimuler. Autrement dit : elles calment sans assommer et soutiennent sans exciter 😌.
Voici quelques alliées naturelles reconnues pour leur action sur la production de cortisol et la gestion du stress sur le long terme :
Ashwagandha
C’est LA star des plantes adaptogènes. Utilisée depuis des siècles en médecine ayurvédique, l’ashwagandha est reconnue pour :
- Réduire significativement les niveaux de cortisol
- Améliorer la qualité du sommeil
- Diminuer l’anxiété et la fatigue mentale
Découvrez notre Ashwagandha : un complément 100 % pur, sans additif ni excipient, formulé à partir de racines d’ashwagandha (Withania somnifera).
Rhodiola
La rhodiola rosea, qu’on surnomme aussi “racine dorée”, est une autre plante adaptogène très utilisée pour :
- Mieux résister au stress émotionnel
- Soutenir les capacités cognitives en cas de surcharge
- Moduler les taux de cortisol lors d’efforts intenses (sport, travail, examens…)
Pour une efficacité optimale, nous proposons la Rhodiola et Safran de Nutripure, standardisée en principes actifs.
Basilic sacré (Tulsi)
Plante ayurvédique réputée pour calmer l'esprit, le basilic sacré aide à réduire le stress oxydatif, à équilibrer la sécrétion de cortisol et à retrouver un meilleur sommeil.
Maca
La maca, souvent utilisée pour ses effets sur l’énergie et la libido, est aussi une adaptogène douce. Elle soutient les glandes surrénales, réduit les symptômes liés au stresset aide à rééquilibrer les hormones.
Reishi
Ce champignon médicinal est utilisé dans la pharmacopée chinoise pour ses effets calmants. Le Reishi contribue à :
- Renforcer le système immunitaire
- Apaiser le système nerveux
- Faire baisser le taux de cortisol en douceur
Les aliments qui aident à réguler le cortisol
Quand on parle de taux de cortisol élevé, on pense souvent aux émotions, au sommeil ou aux plantes… mais l’alimentation joue aussi un rôle crucial dans la régulation de cette hormone du stress 🧠💥.
Certains aliments peuvent réellement aider à réduire les niveaux de cortisol naturellement, tandis que d’autres les font grimper sans prévenir. Voici ce qu’il faut savoir 👇
Les aliments à favoriser pour réduire le cortisol
Voici une sélection d’aliments riches en nutriments essentiels à la bonne gestion du stress et au soutien des glandes surrénales :
- Fruits riches en vitamine C 🍊 : kiwi, orange, fraise… La vitamine C aide à réguler la production de cortisol, surtout en cas de stress élevé chronique.
- Avocats et noix 🥑 : sources de bonnes graisses et de magnésium, deux nutriments clés pour faire baisser le cortisol.
- Poissons gras 🐟 : saumon, sardine, maquereau… riches en oméga-3, qui réduisent l’inflammation et aident à moduler les réponses au stress.
- Chocolat noir ( 70 %) 🍫 : en petite quantité, il peut réduire le cortisol et améliorer l’humeur grâce au magnésium et aux flavonoïdes.
- Légumes à feuilles vertes 🥬 : épinards, chou kale… très riches en antioxydants et en vitamines B, qui soutiennent le système nerveux.
- Tisanes apaisantes 🌿 : camomille, mélisse, passiflore… parfaites pour calmer l’esprit et réduire le stress en douceur.
Les aliments à limiter en cas de cortisol trop élevé
Certains aliments peuvent provoquer une augmentation du taux de cortisol, surtout lorsqu’ils sont consommés régulièrement ou en excès :
- Café à outrance ☕ : un peu, oui. Trop, non. La caféine en excès peut stimuler la sécrétion de cortisol.
- Aliments ultra-transformés 🧃🥓 : riches en sucres rapides, en gras trans, et pauvres en nutriments. Ils entretiennent un état de stress chronique dans le corps.
- Alcool 🍷 : il perturbe le sommeil et la gestion hormonale, favorisant une libération de cortisol irrégulière.
Comment réduire son taux de cortisol naturellement ?
Le pouvoir du sommeil réparateur 😴
Le sommeil est l’un des piliers les plus puissants pour faire baisser le taux de cortisol. En cas de nuit courte ou agitée, la production de cortisol grimpe dès le lendemain, entraînant fatigue, irritabilité et fringales.
- Pour réduire le stress chronique, il est essentiel de :
- Se coucher à heures régulières
- Dormir 7 à 9 heures par nuit
- Éviter les écrans 1h avant le coucher
- Limiter les excitants (caféine, sucre, alcool) en fin de journée
🧠 Une bonne nuit = un rythme hormonal équilibré, des niveaux de cortisol stables, et un corps qui récupère mieux.

L’importance de la respiration et de la cohérence cardiaque 🫁
Respirer, oui. Mais bien respirer, c’est mieux. Des exercices de respiration consciente ou de cohérence cardiaque permettent de réduire les niveaux de cortisol en quelques minutes seulement.
Exemple simple :
Inspirez 5 secondes – Expirez 5 secondes – Répétez pendant 5 minutes, 3 fois par jour.
Cela stimule le système parasympathique (celui qui calme), et diminue l’excès de cortisol lié aux tensions nerveuses.
Faire du sport, mais pas n’importe comment 🏃♀️
L’activité physique régulière est un excellent moyen de réduire le taux de cortisol naturellement. Mais attention : en cas de stress chronique, les sports trop intenses peuvent produire l’effet inverse (🚨 surstimulation des glandes surrénales).
Les meilleures options pour réguler le cortisol :
- Marche rapide
- Natation douce
- Yoga ou Pilates
- Renforcement musculaire modéré
- Danse, vélo, sports plaisir 🥰
Conseil : écoutez votre corps. Si le sport vous épuise plus qu’il ne vous ressource, le cortisol risque de grimper au lieu de baisser.
Conclusion : mieux gérer son stress, c’est protéger sa santé !
Le cortisol est une hormone essentielle, mais lorsqu’il devient trop présent, il peut vite bouleverser notre équilibre physique et mental.
Heureusement, réduire le taux de cortisol est à la portée de chacun : une meilleure gestion du stress, une alimentation adaptée, un peu plus d’activité physique… et le soutien de plantes adaptogènes comme l’ashwagandha ou la rhodiola.
Un taux de cortisol bien régulé, c’est moins de fatigue, moins d’irritabilité, un sommeil réparateur et un esprit plus serein !
N’attendez pas que le stress chronique prenne le dessus : commencez dès aujourd’hui à écouter votre corps, à agir avec douceur… et à retrouver un équilibre durable. 🌱
FAQ
1. Qu’est-ce que le cortisol ?
Le cortisol est une hormone produite par les glandes surrénales. Il aide le corps à réagir face au stress, régule le métabolisme, la pression artérielle, l’inflammation, l’énergie et le cycle veille-sommeil.
2. Pourquoi l’appelle-t-on “hormone du stress” ?
Il est libéré en plus grande quantité lorsque le cerveau perçoit une menace ou une situation stressante. Cette réaction est utile à court terme, mais devient problématique lorsque le stress se prolonge et que le taux de cortisol reste élevé.
3. Quels sont les symptômes d’un taux de cortisol trop élevé ?
Un excès peut provoquer une fatigue persistante, de l’irritabilité, de l’anxiété, des troubles du sommeil, des difficultés de concentration, une prise de poids au niveau abdominal, une baisse de l’immunité et parfois une augmentation de la tension artérielle.
4. Quelles sont les principales causes d’un excès de cortisol ?
Le stress chronique est la cause la plus fréquente. D’autres facteurs peuvent intervenir : manque de sommeil, consommation excessive de caféine ou d’alcool, alimentation déséquilibrée, surentraînement physique ou certaines maladies hormonales comme le syndrome de Cushing.
5. Comment réduire naturellement son taux de cortisol ?
Il est possible de le faire en adoptant de meilleures habitudes : dormir suffisamment, pratiquer une activité physique régulière et modérée, diminuer les excitants comme la caféine, réduire les écrans le soir, et intégrer des techniques de relaxation comme la respiration profonde ou la méditation.
6. Quels aliments aident à faire baisser le cortisol ?
Les fruits riches en vitamine C, les avocats et les noix, les poissons gras, le chocolat noir, les légumes à feuilles vertes et les tisanes relaxantes sont particulièrement bénéfiques. À l’inverse, il est préférable de limiter le café en excès, les aliments ultra-transformés et l’alcool.
7. Le manque de sommeil augmente-t-il le cortisol ?
Oui, une nuit trop courte ou de mauvaise qualité entraîne une hausse du cortisol le lendemain. Un sommeil suffisant et régulier est essentiel pour maintenir un bon équilibre hormonal.
8. Les plantes adaptogènes sont-elles efficaces pour réduire le cortisol ?
Des plantes comme l’ashwagandha, la rhodiola, le basilic sacré, la maca ou le reishi sont reconnues pour aider l’organisme à mieux gérer le stress et à réguler le cortisol. Elles sont efficaces lorsqu’elles sont prises régulièrement et intégrées à une hygiène de vie globale.
9. Le sport aide-t-il à réduire le cortisol ?
Oui, à condition qu’il soit pratiqué avec une intensité adaptée. Les activités modérées comme la marche rapide, la natation douce, le yoga ou le vélo ont un effet régulateur. En revanche, les entraînements trop intenses peuvent augmenter le cortisol en période de stress élevé.
10. Peut-on faire baisser le cortisol rapidement ?
La cohérence cardiaque ou la respiration profonde permettent de réduire le cortisol en quelques minutes. Par exemple, respirer cinq secondes à l’inspiration et cinq secondes à l’expiration pendant cinq minutes aide à activer le système nerveux apaisant.
11. Le cortisol est-il forcément mauvais ?
Non. Il est essentiel au bon fonctionnement du corps. Le problème apparaît lorsqu’il reste trop élevé pendant une longue période, car il perturbe alors de nombreuses fonctions physiologiques.
12. Quand consulter un professionnel de santé ?
Il est recommandé de consulter si vous souffrez de stress chronique intense, d’insomnies persistantes, d’une prise de poids inexpliquée, de troubles hormonaux, ou si vous pensez être concerné par une pathologie comme le syndrome de Cushing.
Références
- R. Jurcău, I. Jurcău, et C. Bodescu, «Anxiety and salivary cortisol modulation in exercise induced stress, using a phytotherapic product containing Rhodiola Rosea.», Palestrica Third Millenn. Civiliz. Sport, vol. 13, no 3, 2012, Consulté le: 18 novembre 2025.
- W. Ossowska, M. Czarnota, et W. Ösztreicher, «Ashwagandha and its role in stress reduction, hormonal balance, and athletic recovery: an evidence-based review», J. Educ. Health Sport, vol. 83, p. 61874‑61874, 2025.
- W. Sobota, P. Piskorz, K. Zemsta, M. Zwoliński, M. Tyniec, et K. Morshed, «Ashwagandha and stress», J. Educ. Health Sport, vol. 70, p. 55514‑55514, 2024.
- T. Y. Order et al., «Ashwagandha for Cortisol Balance: What the Science Says», Consulté le: 21 novembre 2025. [En ligne]. Disponible sur: https://moodriselabs.com/blogs/blog/ashwagandha-for-cortisol-balance-what-the-science-says
- Y. Katsu et M. E. Baker, «Cortisol», in Handbook of hormones, Elsevier, 2021, p. 947‑949. Consulté le: 21 novembre 2025.
- V. Arumugam et al., «Effects of Ashwagandha (Withania Somnifera) on stress and anxiety: A systematic review and meta-analysis», EXPLORE, vol. 20, no 6, p. 103062, 2024.
- W. Turakitwanakan, C. Mekseepralard, et P. Busarakumtragul, «Effects of mindfulness meditation on serum cortisol of medical students», J Med Assoc Thai, vol. 96, no Suppl 1, p. S90-5, 2013.
- M. Della Porta, J. A. Maier, et R. Cazzola, «Effects of Withania somnifera on cortisol levels in stressed human subjects: a systematic review», Nutrients, vol. 15, no 24, p. 5015, 2023.
- S. M. Staufenbiel, B. W. Penninx, A. T. Spijker, B. M. Elzinga, et E. F. vanRossum, «Hair cortisol, stress exposure, and mental health in humans: a systematic review», Psychoneuroendocrinology, vol. 38, no 8, p. 1220‑1235, 2013.
- U. Voderholzer et al., «Impact of Sleep Deprivation and Subsequent Recovery Sleep on Cortisol in Unmedicated Depressed Patients», Am. J. Psychiatry, vol. 161, no 8, p. 1404‑1410, août 2004, doi: 10.1176/appi.ajp.161.8.1404.
- K. P. Wright Jr et al., «Influence of sleep deprivation and circadian misalignment on cortisol, inflammatory markers, and cytokine balance», Brain. Behav. Immun., vol. 47, p. 24‑34, 2015.
- A. Koncz, Z. Demetrovics, et Z. K. Takacs, «Meditation interventions efficiently reduce cortisol levels of at-risk samples: a meta-analysis», Health Psychol. Rev., vol. 15, no 1, p. 56‑84, janv. 2021, doi: 10.1080/17437199.2020.1760727.
- P. Björntorp et R. Rosmond, «Obesity and cortisol», Nutrition, vol. 16, no 10, p. 924‑936, 2000.
- J. Stoppani, «Rhodiola reduction: the herb that reduces cortisol levels», Flex, vol. 27, no 5, p. 152‑153, 2009.
- R. Jurcău et I. Jurcău, «Rhodiola rosea’s relationship with stress, physical fatigue and endurance; a PubMed evaluation», Palestrica Third Mill Civiliz Sport, vol. 19, no 1, p. 17‑22, 2018.
- R. Leproult, G. Copinschi, O. Buxton, et E. Van Cauter, «Sleep loss results in an elevation of cortisol levels the next evening», Sleep, vol. 20, no 10, p. 865‑870, 1997.
- Y. Chen et al., «The effect of acute sleep deprivation on cortisol level: a systematic review and meta-analysis», Endocr. J., vol. 71, no 8, p. 753‑765, 2024.
- M. Stachowicz et A. Lebiedzińska, «The effect of diet components on the level of cortisol», Eur. Food Res. Technol., vol. 242, no 12, p. 2001‑2009, déc. 2016, doi: 10.1007/s00217-016-2772-3.
- S. J. Lupien, F. Maheu, M. Tu, A. Fiocco, et T. E. Schramek, «The effects of stress and stress hormones on human cognition: Implications for the field of brain and cognition», Brain Cogn., vol. 65, no 3, p. 209‑237, 2007.
- G. Russell et S. Lightman, «The human stress response», Nat. Rev. Endocrinol., vol. 15, no 9, p. 525‑534, 2019.